La BAM a changé d'adresse ! (et depuis longtemps bande de nouilles)

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vendredi 30 octobre 2009

Rocka-cabana


Un bon morceau de rock, ça fait danser les garçons et ça fait crier les filles.

On savait déjà que The Kooks faisait crier les filles de Paris, maintenant, on sait aussi qu'ils font parfois de bonnes reprises.


Young Folks (Peter Bjorn and John cover) - The Kooks

On savait aussi déjà que Vampire Weekend fait partie de ces groupes de rock à fort potentiel dansant (dans la lignée d'LCD Soundsystem). Le groupe confirme son talent, et produit ici une musique sophistiquée, influencée par des rythmes africains, mais toujours aussi efficace.


Horchata - Vampire Weekend

La rentrée a aussi été marquée par la sortie d'un album, au nom sobre mais pertinent : "Album". Inspiré mais pas nostalgique, on entend les influences 60's toutes proches. Et l'ambiance qui en ressort est parfaitement illustrée par la pochette : un spleen adolescent, aux couleurs filtrées au polaroïd, sincère et finalement assez touchant.


Lust For Life - Girls


Et d'ailleurs, le coming-next du Grand Journal de cette semaine est tout simplement la track 2 de l'album de Girls.


Très longtemps la scène New-Yorkaise était menée par The Strokes, à juste titre. Leur leader sort un album solo : lumineux et essentiel en cette fin d'année.


11th Dimension - Julian Casablancas

Michel Banana Bonus : A force d'en rajouter, la BAM va saturer de vidéos, mais allons bon... Arctic Monkeys aussi savent faire danser et crier les filles, et puis Alex Turner ressemble de plus en plus à Jean-Pierre Léaud...


jeudi 29 octobre 2009

Musicvision

mardi 20 octobre 2009

mardi 13 octobre 2009

Liberté d'expression

On me laisse m'exprimer. Je m'exprime. J'ai tout d'abord pensé à écrire quelques lignes sur Sartre. Parce qu'il me laissait perplexe : roux, binoclard, faussement branché ET Dieu de la littérature française. J'ai toujours pensé que Sartre aurait du essayer le curling, il aurait eu un semblant de défi dans sa vie.

N'étant pas passionné de curling, j'essaie de rendre une copie convenable. Avec les formes : un sujet, un verbe, un complément. Parce qu'il faut séduire et convaincre.

C'est fou comme le mot convaincre est présent dans nos vies. Il démontre combien notre société est restée primitive : il faut séduire pour convaincre, et convaincre pour bien vivre. Parce que c'est toujours le plus fort qui gagne. Et c'est mieux ainsi.

Vient alors le moment où je pars sur mes grands chevaux en criant "entre le fort et le faible, le riche et le pauvre, c'est la liberté qui opprime et la loi qui affranchit" (Henri LACORDAIRE). Mais non, c'est hors-contexte. Mais c'est trop tard, je l'ai écris. C'est votre faute. Vous me laissez m'exprimer. Alors, je m'exprime.


R.I.P J-M


Non, Jean-Michel n'est pas mort. Ce n'est pas parce que c'est la mode (chanteur des boyzone, grippe A, Filip des 2be3, Mickael Jackson) qu'il va s'y mettre. Il vous saurait trop triste. Il ne se sait pas idiot: la qualité de ses écrits pourraient le faire rentrer dans le cercle fermé des hommes immortels (parce qu'ils portent des vestes vertes).

Ici, est le véritable début de mon article. La personne qui est intervenue avant moi n'étant autre que mon diable égocentrique, pédant, condescendant, arrogant et tous les autres adjectifs pouvant désigner une personne dégueulassement hautaine. La BAM célèbre Michel. Ce dernier est l'allégorie de la simplicité, de la modestie, et du bonheur simple. Par conséquent, les chroniqueurs ont une base idéologique simple : de la légèreté, avec du lourd. Ou, pour reprendre un slogan de tribune étudiante : L'impertinence dans la pertinence. Et rien d'autre.



Basic Space (Astronomer Remix) - The XX

Mes mots sont empreints de nostalgie et sont désorientés. C'est souvent ce qui arrive quand on quitte un moment quelque chose qui nous est cher: on prend conscience de l'importance que cette chose a sur notre vie. La conscience est le propre des gens intelligents. En évitant d'attendre la période creuse pour saisir l'importance, ils gagnent du temps, et trouve un chemin plus rapide vers le bonheur. Suppression de temps de travail, coûts diminués, profit assuré, ils sont aussi de parfaits capitalistes.
N'étant pas particulièrement intelligent, j'ai pourtant conscience d'une chose: le disco rend heureux.



Patrick 122 - Mr. Oizo

Vive l'écriture, les fans de la BAM, et La République aussi tiens.

Jean-Michel Kiwi Bonus:

Ayant des convictions Wildiennes, je suis persuadé que les gens beaux réussissent toujours. Pour les autres, ils peuvent regarder cette vidéo.




C'est le directeur du MBA de l'ESCP-EAP qui vous en parle.

Il s'en est apparemment servi.

Panier-Piano



Channel 7 - Aufgang


Primavera - Ludovico Einaudi


Avril 14th - Aphex Twin


vendredi 9 octobre 2009

Michel met ses lunettes... #4


Les documents suivants ne traduisent pas la pensée de Michel, ils invitent seulement à une réflexion sur les concepts mis en lumière, de façon orientée ou non.

“Dans un village qui vit du tourisme, il n'y a plus de touristes, à cause de la crise. Pour survivre, tout le monde emprunte à tout le monde. Plusieurs mois passent, misérables. Arrive enfin un touriste qui prend une chambre dans l'hôtel, qu'il paie avec un billet de 100 euros. Le touriste n'est pas plutôt monté à sa chambre que l'hôtelier court porter le billet chez le boucher à qui il doit justement cent euros. Le boucher va lui-même aussitôt porter le même billet au paysan qui l'approvisionne en viande ; le paysan à son tour se dépêche d'aller payer sa dette à la prostituée à laquelle il doit quelques "services". La prostituée va à l'hôtel pour rembourser à l'hôtelier les chambres qu'elle louait à l'heure. Comme elle dépose le billet de 100 euros sur le comptoir, le touriste, qui venait dire à l'hôtelier qu'il devait repartir tout de suite, ramasse le billet et disparaît. Au total, chacun a payé sa dette ; rien n'a été dépensé, ni gagné, ni perdu par personne. Et plus personne dans le village n'a de dettes.”