La Bande à Michel (BAM): Michel d'Or

L'heure est aux bilan. Objectivement, pour la BAM, cette année fut exceptionnelle: croissance constante des connexions, des lecteurs satisfaits du contenu, et une compilation réalisée. Michel est underground et a réussi à bien l'être en cette année 2009. Son égo a gonflé, gonflé, et s'est dit que si son pote Oscar avait le droit de faire une cérémonie, Michel vaut bien une messe. J'ai l'honneur de déclarer ouverte la première édition des Michel (l'invariable Michel).

Etant un tyran, Michel choisit arbitrairement qui il a envie de récompenser, parce que c'est plus facile sans démocratie.

Michel du Putching ball :

Frédéric Lefebvre
(c'est gratuit, met lui une)

Michel du lancement de chronique le plus raté :

Vous vous en doutez, les deux chroniqueurs ont eu une ambition démesurée en annoncant une chronique régulière récapitulant tout ce qu'ils avaient trouvé de plus débile sur le web dans le mois. Il faut du temps pour être con. Nous ne l'avons pas trouvé. A charge de revanche.
Parce que la connerie, ça repose.

Revue de Charcuterie

Michel de l'album de l'année :
Parce qu'Alain Finkielkrautrock est notre modèle et que cet album est tout simplement un orgasme auditif, une révolution sonore, intemporelle et inclassable, leur album est apparu pour nous comme une évidence.

Dirty French Psychedelics

Comme dans toute cérémonie, il y a un prix d'honneur. Johnny a été à deux doigts de passer l'arme à gauche (JAMAIS, il s'occupera du prochain lipdub de l'UMP, c'est promis, parce qu'il veut lui aussi changer le monde).

Nous sommes passé à côté d'une tragédie. Une tragédie qui aurait laissé place à beaucoup, beaucoup d'hommages. Plus ou moins réussis. Ses fans nous en donnent un avant goût, et se partagent le prix par la même occasion.

Michel de la plus belle émotion :